Catégorie : Vente

  • Comprendre le marketing des services

    Comprendre le marketing des services

    Dans notre environnement professionnel du transport et de la logistique, nous sommes immergés dans le service avec des intervenants comme les opérateurs portuaires, les pilotes, les remorqueurs, les transporteurs de tout type, les consignataires, les transitaires, les forwarders, les entreprises d’entretien, les stations de services. Pour pouvoir vendre bien un service, on doit d’abord comprendre ce que c’est, de là on peut savoir comment pallier aux difficultés de la vente pour pouvoir ensuite, aller à la rencontre du client avec confiance.

    Comment décrire un service ? Un marketeur avait définit le service comme étant une chose qui peut être achetée ou vendue mais qu’on ne peut pas se laisser tomber sur le pied ! Oui, Nous nous achetons beaucoup de services parce que durant toute la journée nous les utilisons partout où nous allons : nous emmenons nos enfants à l’école (éducation), nous prenons le tramway (transport), nous arrivons au travail, nous passons des coups de fil (communication), nous prenons une petite pause dans un café du coin (restauration) où nous pouvons jeter un coup d’œil sur les faits divers (presse), nous vérifions nos comptes (banque) et nous traitons avec l’expert comptable les déclarations fiscales du mois (comptabilité). Le soir, nous allons chez le coiffeur (coiffure) avant de rejoindre notre domicile. La fin de semaine nous programmons selon le cas d’aller voir un mach au stade ou une pièce de théâtre
(spectacle).

    Jalil, le responsable commercial d’une grande société de transport explique à des stagiaires en formation la nature des services avant de leur enseigner comment les vendre.

    « Pour comprendre comment on peut les concevoir et les vendre, je vous invite à examiner d’abord les particularités et le caractère spécial des services. Pour cela je vais utiliser trois métaphores : le coiffeur, le transport des personnes et le match de foot » explique-t-il.

    « La première spécificité d’un service est qu’il n’est pas un bien qu’on possède, mais une prestation à laquelle on accède d’une façon temporaire. Un service est aussi intangible : que ce soit une coupe de cheveux, un voyage ou une pièce de théâtre, on y accède pendant une certaine durée, on en a une certaine perception sans pouvoir ‘‘tenir’’ quoi que ce soit dans la main !

    Autre caractéristique : la décision d’achat d’un service se fait toujours avant sa production. Nous décidons de confier notre tête au coiffeur avant de nous asseoir pour la coupe des cheveux !

    Il faut noter aussi que, très souvent, l’acheteur d’un service est impliqué dans sa production. Oui, en prenant sa place dans un bus, un train ou un avion, nous sommes une partie du service, en entrant chez le coiffeur, nous participons d’une certaine façon à l’opération.

    En plus, le service a une autre particularité : L’acheteur d’un service peut dépendre d’autres clients ! Bien sûr, dans le cas d’un match de foot, le spectacle dépend des joueurs certes; mais l’ambiance, elle, dépend des autres spectateurs : elle peut être bonne ou pas selon le comportement de ceux - ci !

    C’est difficile d’évaluer un service du moment que son appréciation est plutôt subjective. La même coupe de cheveux, le même match de foot et le même trajet, peuvent être évalués différemment d’un client à un autre.

    La notion de la vitesse est particulièrement importante. En effet parce que l’acheteur est souvent impliqué dans la ‘‘production’’, il veut en finir au plus vite. Nous retrouvons souvent des spots publicitaires comme : ‘‘votre pizza livrée en 10 min’’ ou ‘‘la réponse à votre crédit en 48 heures’’, votre vidange en 5 minutes’’

    Nous pouvons aussi classer les services selon l’objet de leur action. On parle d’un traitement des personnes (transport de voyageurs, coiffure) ; d’un traitement des biens (transport de marchandises, lavage de camion) ou processus mental (formation, campagne de communication, publicité).

    Nous arrivons maintenant à une caractéristique très importante et c’est celle que nous allons tenir peut être plus en compte lors de la vente des services.Dans le cas de fabrication et commercialisation des biens, le marketing, la production et les ressources humaines sont plus ou moins indépendants et sont gérés en conséquence. Dans le cas des services ; le management des opérations, du marketinget des ressources humaines se fait presque en même temps. Prenons notre exemple du transport : l’opération, c’est la conduite du véhicule avec les passagers à bord sur un trajet. Le marketing veille à ce que l’expérience de ce voyage soit agréable. Il est vrai que le marketing a agi avant et pourra agir après le voyage mais la particularité du service est qu’il agit aussi pendant la ‘‘fabrication’’ du produit. La prestation des ressources humaines (le conducteur et son assistant) est suivie en direct et en temps réel par le client, d’où l’importance de la haute compétence des collaborateurs  de contact. »

    Rayhane une jeune diplômée en commerce semble découvrir ces notions pour la première fois, elle se précipite et demande : « Comment le vendeur peut pallier à ces difficultés ? »

    Jalil fait un signe de la tête pour la rassurer qu’il va expliquer cela. Il reprend :

    « Nous avons énuméré les particularités qui différencient le service d’un produit tangible, il est tout à fait normal que la vente d’un service soit différente. L’acheteur d’un service, du fait qu’il prenne sa décision d’achat avant même la ‘‘production’’ sent qu’il prend un risque réel. La première mission du commercial est de lui faire apaiser ce sentiment au maximum. Il peut à ce titre parler de l’expérience et la compétence du prestataire et citer quelques références pour rassurer son prospect. »

    Pour contrer le caractère intangible du service, les marketeurs essaient parfois de lui donner un aspect physique : Ainsi les opérateurs Télécom, offrent des packs physiques pour rendre leur produit ‘‘la communication ou l’internet’’ concret et touchable par leurs clients. Les publicitaires utilisent tout leur art pour donner au service, une image, une forme, un gout ou une sensation. Le commercial peut aussi faire appel à des supports visuels et raconter des expériences agréables d’autres clients. Dans ce cadre entrent les témoignages de personnes connus en faveur du service.

    Rayhane, toujours excitée de découvrir tant de choses, intervient de nouveau : « Mais même avec cela, le client ne sera rassuré que par l’expérience réelle ! » dit-elle.

  • Les qualités des bons commerciaux

    Les qualités des bons commerciaux

    Un grand cabinet de recrutement a publié dernièrement une liste de qualités recherchées par les recruteurs pour le poste de commercial. Cette liste est issue de toutes les annonces de recrutement d’une année entière. On peut lire : Sens relationnel, Capacité d’écoute, force de persuasion, créativité, dynamisme, rigueur et méthode, esprit d’analyse, qualité fédératrice, force de proposition, bonne élocution! Qu’en pensez-vous ?

    Sur recommandation de son directeur et pour être préparé à sa nouvelle fonction, Mehdi rejoint une formation sur le métier de la vente. Ils sont douze apprenants assis autour d’une grande table. Le formateur se tient au fond et derrière lui sur le mur, se trouve un grand écran LCD et un tableau blanc.

    Le formateur a commencé par une séance de présentation des participants et il entame maintenant la première séance : « Aujourd’hui, pour commencer nous aller essayer de comprendre comment sont les commerciaux, quelles sont leurs qualités, comment est leur état d’esprit? Mais ce n’est pas moi qui va vous dire tout cela, c’est vous. Chacun va penser à un commercial qu’il apprécie (ou plus) et nous dire quelles sont les qualités qui font de ce dernier un bon commercial. »

    Mehdi apprécie beaucoup ce style d’enseignement participatif. Il prend son bloc note et commence à écrire. Il pense à M. Said le directeur commercial de son entreprise. Il écrit le profil suivant :

    « Sa première qualité est l’organisation. Il gère directement des dizaines de clients différents et indirectement des centaines avec autant de noms d’interlocuteurs, de contrats commerciaux différents, de commandes et il arrive à s’en sortir grâce à sa bonne organisation et sa bonne mémoire ! ».

    Les participants prennent la parole à tour de rôle pour s’exprimer. Souad qui travaille pour une société d’équipements industriels parle de son chef : « Il a une grande capacité relationnelle qui lui permet de fidéliser sa clientèle et de développer son portefeuille clients. Seconde qualité : l’écoute. Il prend le temps pour comprendre les besoins et les envies du client avant de le guider vers le meilleur produit qui lui convient le plus. Bien sûr, cela ne se passe pas toujours facilement et beaucoup ne se laissent pas convaincre facilement et là intervient sa troisième qualité : sa force de persuasion ! »

     

    Le formateur semble beaucoup apprécier ce témoignage de Souad. « Bravo ! » dit-il avant d’ajouter : « L’instauration d’une relation de confiance entre le vendeur et ses clients est en effet indispensable. La relation client nécessite un sens relationnel développé, une capacité d’écoute (écoute active) et d’adaptation afin d’intégrer rapidement les spécificités de chacun de ses clients. »

    Ahmed réagit à ces deux interventions : « on ne peut pas construire ces relations sans être empathique. A mon avis c’est l’empathie qui est la première qualité ! »

    Un participant ne semble pas comprendre : « c’est quoi l’empathie ? » demande-t-il.

    « C’est la faculté de s’identifier à quelqu’un, de ressentir ce qu’il ressent, de se mettre dans sa peau. » répond Ahmed.

    Le même participant réagit : « Oui, mais à mon avis, c’est l’honnêteté qui est la première qualité nécessaire. Rien ne se construit dans une relation client à long terme sans honnêteté ou sur des malentendus. Le discours du commercial doit donc être sincère pour être qu’il soit crédible. »

    Le formateur semble se réjouir de cette animation spontanée du débat. Mais, il intervient pour donner l’occasion à d’autres apprenants de s’exprimer.

    Rizlane, une assistance au service après vente dans une société de distribution d’appareils électroménagers a rejoint la formation pour devenir vendeuse. « Le meilleur commercial de notre société est infatigable, imbattable, persévérant, très patient. Il est toujours optimiste et ne se déclare jamais vaincu. »

    « Bien, bien ! » dit le formateur. « Tu as dit beaucoup de qualités d’une façon très concise. Voyons comment je peux formuler tout cela. ».

    C’est vrai. L’optimisme du commercial doit être de rigueur, même en cas d’échec. Il faut savoir se remettre en cause, analyser ses échecs pour mieux rebondir.

    Vendre nécessite aussi une forte dose de persuasion et d’enthousiasme : cela concerne à la fois le fond : il s’agit là d’arguments de vente percutants par rapport aux besoins du client ; mais aussi la forme, c’est-à-dire la façon dont on prononce son argumentaire est primordiale: Energie, passion et assurance doivent être au rendez-vous pour convaincre.

    Bon nombre d’accords commerciaux nécessitent plusieurs rendez-vous et/ou échanges téléphoniques, la patience et la persévérance sont donc nécessaires. Sans compter que votre premier rendez-vous peut très bien se situer à un moment où votre prospect n’a pas de besoin… La signature d’un contrat commercial peut donc arriver des mois plus tard.

    Le vendeur doit également se montrer patient et persévérant face aux hésitations d’une clientèle parfois indécise. Résistance à la pression et au stress sont également indispensables car les commerciaux se voient imposés des objectifs chiffrés trimestriels, semestriels et annuels et être de bons vendeurs. On dit souvent qu’ils représentent « la force vive de l’entreprise.

    La relation client est elle-même souvent source de stress et de pression : prospection, prise de rendez-vous, négociation commerciale difficile, risque de perte d’un gros client, etc. Mieux vaut donc savoir prendre du recul et résister au stress !

    Mehdi est en train de suivre ces propos mais une inquiétude commence à l’habiter. Tout cela est bon, mais je ne pense pas que moi j’ai toutes ces qualités. Est-ce que je pourrai faire l’affaire ? » Il reste songeur plongé dans ses craintes quand le formateur le surprend : « Et toi Mehdi, on n’a pas entendu ton point de vue ! ».

    Mehdi jette un coup d’œil sur son bloc note. « je pense que vous avez omis une qualité importante » di-il. « C’est l’organisation. Notre directeur commercial est un champion dans ce domaine. Il a beaucoup de responsabilités, une multitude de tâches chaque jour, et il arrive à s’en sortir sans se plaindre ni se fatiguer. Il est toujours plus enthousiaste et avec plus d’énergie que la veille! ».

    « Tout à fait !» confirme le formateur. « Pour gérer les rendez-vous, les visites, les appels téléphoniques, les visites aux clients, les réclamations, les voyages à d’autres villes, la participation aux salons, la rédaction des comptes rendus et des rapports, …. Tout cela exige un niveau d’organisation très poussé. »

    Un participant ne semble pas tout à fait convaincu de tout cela. Il intervient avec un ton de réclamation : « Vous semblez oublier le plus important : la connaissance et la maîtrise du produit ! On ne peut pas vendre un produit qu’on ne maitrise pas, surtout quand il s’agit d’un produit complexe ! »

    « je vous comprends » dit le formateur. Nous allons faire de l’ordre dans cela à partir de la séance prochaine. Et si vous êtes ici, ce n’est pas pour apprendre un produit puisque chacun de vous va commercialiser des produits différents mais surtout pour que vous aiguisiez vos qualités de vendeur. Je n’anticipe pas. Vous allez tout savoir à partir de la prochaine séance et tout au long de cette formation. »

    Mehdi semble un peu rassuré par cette annonce du formateur. Cela répond en partie à ses craintes. S’il est là c’est pour qu’il soit bien « armé et bien outillé moralement pour faire l’affaire ! » . Il a envie de tout savoir et il a hâte de continuer tout de suite !

  • Nous sommes tous des commerciaux

    Nous sommes tous des commerciaux

    La capacité à vendre est elle un talent dont certains de nous ont été dotés ? Ou bien une compétence que nous pouvons apprendre et acquérir ? Ou encore, un mélange complexe des deux ? Les spécialistes estiment que par nature, l’être humain est un être vendeur ! Il est sociable et pour pouvoir vivre normalement, il a constamment besoin de vendre quelque chose à ses pairs!

    Zoubir, dirigeant une société de services décide de renforcer sa force de vente. Il préfère compter sur les ressources internes avant de recruter de l’extérieur. Il a un collaborateur Mehdi, qui est bien rodé dans les opérations avec de bonnes qualités relationnelles. M. Zoubir juge que Mehdi fera un bon vendeur de par ses qualités relationnelles et sa maitrise des produits de l’entreprise. Il l’appelle à son bureau pour lui proposer un nouveau poste de vendeur. La réaction de Mehdi est la suivante : « Je veux bien, mais je ne suis pas fait pour la vente ! ».

    Cette réaction est bien fréquente et peut être aussi naturelle pour un jeune comme Mehdi. En effet nombreux sont convaincus que l’esprit commercial et l’aptitude à vendre sont un don et un talent innés. Si on les a pas, on peut pas se réinventer comme vendeur !

    Cependant, même si on adhère à cette idée, qui a dit que nous n’avons pas tous ce don et ce talent ?

    Un formateur et conférencier raconte qu’il demande parfois à ses auditeurs de séminaires publics, « Combien de personnes ici sont dans la vente?». Il est intéressant de voir comment les gens réagissent à cette question. Il y a toujours quelques personnes qui vont lever leurs mains, et puis un autre et un autre, et bientôt peut-être la moitié de la salle lèvent leurs mains, même si elles sont dans des domaines tels que la gestion, l’administration, les finances ou la comptabilité.

    Le conférencier sourit et demande à nouveau, « Maintenant, combien de personnes ici sont vraiment dans les ventes? » A ce stade, l’ambiance s’active davantage et pratiquement chaque personne dans la salle lève la main. Tous le monde sourit et certains ne s’empêchent pas de rire un peu à avoir pris conscience que chacun de nous est, d’une façon ou d’une autre, dans le domaine de la vente chaque jour.

    Dans le monde de l’entreprise, tout le monde est dans vente. La question cruciale est de savoir si vous êtes bon ou moins bon dans ce domaine. A partir du moment où vous vous levez le matin jusqu’à l’heure où vous allez vous coucher la nuit, vous êtes continuellement en train de négocier, communiquer, convaincre, influencer et d’essayer d’amener les gens à coopérer avec vous pour faire les choses que vous voulez qu’ils fassent.

    Mais dans la vie ordinaire de chaque jour, tout le monde vend. Tous les parents efficaces sont des vendeurs merveilleux. Ils essaient de convaincre leurs enfants d’adopter une certain comportement, de respecter certaines valeurs et les poussent à choisir ce qu’ils veulent d’eux en tant que parents. Tous les enfants efficaces sont aussi de très bons vendeurs d’idées à leurs parents. Pour avoir quoi que ce soit, les enfants entament une démarche « commerciale » à l’égard de leurs parents. Ils utilisent des techniques de persuasion et d’influence pour les convaincre. Et il s’agit là de véritable vente !

    Lorsque tu proposes à tes amis de voir un film qui t’a plut, ou de lire un livre qui te parait intéressant, tu ne fais que leur « vendre » tes préférences ! Lorsque tu postules pour un poste, tu es au fait en train de vendre tes services à ton futur employeur.

    Les bons employés sont très efficaces pour obtenir de leurs patrons des choses, et d’obtenir de leurs collègues de les assister et de coopérer avec eux dans l’exécution du travail. Toute personne efficace dans pratiquement tous les domaines de la vie qui implique d’autres personnes est un excellent vendeur d’une certaine façon.

    A cet égard, la vente peut être synonyme de l’influence. Si vous êtes faible dans la vente, alors vous êtes simplement un destinataire d’influence. Cela signifie que vous serez constamment influencé et persuadé par d’autres. Si vous êtes bon dans les ventes, cela signifie que vous serez un agent d’influence et vous pouvez constamment influencer et persuader les autres dans la direction que vous voulez qu’ils aillent.

    Les vendeurs sont les personnes influentes dans toutes les entreprises et l’industrie. Ils sont les personnes clés qui créent la demande pour tous les produits et services de leur entreprise ce qui maintient toutes les personnes employées pour les autres tâches.

    Les entreprises florissent ou se dégradent selon leur capacité à vendre des quantités suffisantes de leurs produits ou services à des prix suffisants sur les marchés concurrentiels. Elles sont conscientes que le nerf de la guerre est leur action commerciale professionnelle et efficace.

    Si nous sommes convaincus que nous avons tous, depuis notre enfance ce don et ce talent de « vendeur », certains de nous l’on développé davantage pour devenir d’excellents vendeurs, d’autres en revanche l’ont endormi. Pour développer ses facultés commerciales, comme toute autre faculté d’ailleurs, il faut s’entrainer, se former, apprendre davantage et persister. Même lorsqu’on est doué et talentueux, on a besoin de nous entrainer pour aiguiser ses facultés et se développer.

    Les entreprises sont conscientes de la valeur de la formation commerciale et y consacrent les ressources nécessaires.

    1. Zoubir assure son collaborateur : « tu prétends que tu n’es pas fait pour la vente mais moi je suis convaincu que tu fera un très bon commercial. Tu as besoin d’une formation théorique puis d’une période de pratique et de familiarisation avec l’un de nos commerciaux et tu feras l’affaire ! ». Après cette confiance de la part de son directeur, Mehdi se sent rassuré et prêt à lever ce nouveau défi. Ce n’est pas vraiment nouveau parce qu’il se rend compte qu’effectivement il a contribué avec ses collègues dans plusieurs ventes par le passé.

    La chose merveilleuse dans la vente est qu’elle est une compétence acquise. Peu importe le niveau ou la capacité à vendre que vous avez aujourd’hui, par la pratique continue et l’aptitude à trouver des problèmes que vos idées, vos produits et vos services peuvent résoudre, vous pouvez devenir de mieux en mieux, et de plus en plus convaincant dans tout ce que vous faites et avec tout le monde que vous rencontrez. La vente n’a rien de mystérieux.

    Mieux encore, savoir vendre va se répercuter sur des les autres facettes de votre vie ! Plus efficace, vous êtes dans la vente,  plus vous pouvez influencer les autres et les convaincre à vous donner ce que vous voulez, et donc plus de succès, vous aurez dans toute autre partie de votre vie.

     

     

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